C’est en février 2015, que j’ai découvert la plume de Philippe Saimbert, pour la première fois, grâce à son thriller fantastique « Le fossile d’acier ».
Comme j’avais apprécié le roman de Philippe, et lui mon article, notre collaboration littéraire a continué avec la lecture de « L’héritage de Tata Lucie » et « Il faut marier Bertrand », deux romans humoristiques.
Cet échange n’allait pas s’arrêter en si bon chemin car, quelques jours avant Noël, Philippe Saimbert m’a contactée pour m’offrir un exemplaire papier et dédicacé de son tout dernier roman.
Nous allions donc transformer l’expression française « Jamais deux sans trois » en « Jamais trois sans quatre ».
Dans cet article, je vous présenterai 11 serpents de Philippe Saimbert.