Ce matin là, j’avais envie de lire un livre pas trop long que j’aimerai à coups sûrs. Je devais donc choisir parmi l’un de mes auteurs fétiches afin d’être sûre de ne pas être déçue.
J’ai choisi un livre de Marc Levy. Plusieurs titres de cet auteur étaient présents dans ma bibliothèque sur le rayonnage « non lus ». J’ai décidé de lire Les enfants de la liberté.
Guillaume Musso est l’un de mes écrivains favoris. Telle une fan inconditionnelle, j’achète tous ses romans, sans exception, dès leurs sorties en livre de poche.
Ce matin de juillet, j’ai choisi sur mon étagère « Je reviens te chercher de Guillaume Musso ». Comme à mon habitude, je n’ai pas lu la quatrième de couverture et je me suis tout de suite lancée dans la lecture de ce roman.
Lors d’une de mes petites séances détente sur la toile, j’ai découvert, par hasard, Ensorcelé pour l’amour d’une reine de Marjorie Loup.
Je n’avais jamais entendu parler de l’auteure ni du livre. Piquée par la curiosité, je l’ai tout de suite téléchargé, envoyé sur mon Kindle et commencé à le lire.
J’étais comme bien souvent en train de flâner sur Internet, lorsque j’ai découvert le livre d’Alison Arngrim : La petite garce dans la prairie.
Nous étions le 12 mai 2012, date de sortie de ce livre en Ebook. Je me suis donc précipitée sur Amazon et j’ai acheté le livre. Je suis une fan de la série La petite maison dans la prairie, je n’ai donc pas pu résister plus d’une minute à la tentation.
Et voilà, je venais d’acheter mon premier Ebook. Je trouve que lire un Ebook sur un pc est très désagréable. Cependant, je comptais acquérir très rapidement le Kindle d’Amazon. Si je n’avais pas fini le livre avant, je terminerais ma lecture sur mon Kindle flambant neuf.
Pavillon 38 de Régis Descott faisait partie de ma collection de « livres à lire » depuis quelques temps déjà (cela pourrait se compter en années). Je l’avais acheté un dimanche après midi dans un magasin Cultura. Nous aimons beaucoup, ma belle mère et moi, passer une partie de cette dernière journée du week-end dans ce magasin.
Comme à mon habitude, j’avais flâné dans les rayons et choisi ce livre pour sa couverture et surtout pour son titre. Je ne connaissais pas son auteur : Régis Descott.
Le titre m’avait fait penser à un livre que j’avais déjà lu et que j’avais adoré : Le Pavillon des enfants fous de Valérie Valère.