Il y a plusieurs mois Hubert Letiers m’a contactée pour me proposer la lecture de l’un de ses romans. Il s’agissait de celui intitulé Mingalaba.
Hubert Letiers est auteur de plusieurs romans de style « Thriller ». Ancien parisien, cet ingénieur de formation vit aujourd’hui sous le soleil de la région PACA.
Dans cet article, je vous présenterai son roman Mingalaba.
Mingalaba d’Hubert Letiers : un petit résumé de l’histoire
Inès Lormant, jeune diplômée des Beaux-Arts vient tout juste de décrocher son premier emploi. Il s’agit d’un poste de graphiste-maquettiste au sein de la société MDC une entreprise de marketing et de conception graphique.
Provinciale depuis toujours, elle décide donc de déménager dans la capitale avec son petit ami Vincent.
Cependant, des choses étranges se passeront durant sa première journée de travail : son patron qui souhaite l’appeler Patricia et non Inès, un accueil peu chaleureux et un collègue qui lui donne comme numéro de téléphone un numéro non attribué…
Inès essaiera de ne pas se formaliser avec ces étranges comportements. Cependant, il sera difficile d’y faire abstraction lorsque, lors de son deuxième jour de travail, le bâtiment de MDC explosera avant qu’elle ne pénètre à l’intérieur.
Inès et Vincent se retrouveront mêlés à une affaire très étrange. Ils seront aidés par le père d’Inès et le commissaire Azzani qui n’hésiteront pas à percer le mystère de MDC jusqu’en Birmanie.
Mingalaba : mon avis sur le livre
Le titre de ce livre m’a immédiatement troublée et amenée à m’interroger sur la signification de ce mot. Je pensais avoir ma réponse au fil de ma lecture, mais je n’ai pas trouvé d’indices au sein du livre d’Hubert Letiers.
J’ai donc eu recours à Google qui m’a fournit la réponse tant attendue : Mingalaba signifie « bonjour » en birman. Je trouve que ce titre colle parfaitement à l’histoire.
J’ai passé un agréable moment à lire ce livre. Il est très bien écrit, dans un style riche et varié. Je n’ai repéré aucune coquille, ce qui favorise la lecture.
Petits points négatifs : je trouve qu’un découpage du livre par chapitre aurait rendu la lecture encore plus agréable. De plus, une petite touche de suspens rendrait le livre encore plus palpitant.
Un grand merci à Hubert Letiers qui m’a fait découvrir quelques coutumes birmane au travers de son roman.
A très bientôt sur Cannibalecteur,
Céline
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