Alexis Arend est passionné par l’écriture depuis l’âge de 12 ans. Ingénieur de formation, il est aujourd’hui écrivain à temps complet.
Il trouve son inspiration grâce à des auteurs comme John Steinbeck ou Stephen King. Cependant, ses livres de chevet peuvent aussi être plus classiques comme ceux de Bernard Clavel ou encore d’Emile Zola.
Dans cet article, je vous présenterai Heaven’s Road, le premier roman d’Alexis Arend.
Heaven’s Road d’Alexis Arend : un résumé de l’histoire
« Kyle avait maintenant pris l’habitude de ce rituel immuable. Une nuit passée dans une chambre, la suivante dans une autre, parfois à plusieurs dizaines de lieues de là… C’était sa vie désormais. Une vie bien misérable. Pour combien de temps encore ? »
Soudainement, de nombreuses disparitions inquiétantes ont lieu à travers le monde. Les personnes s’évaporent brusquement sans laisser de traces. Même la végétation disparait petit à petit et les animaux ne sont pas épargnés non plus.
Suite à la disparition de sa femme Jenna, Kyles Jenkins de Milford Hills dans l’Illinois, décide de réunir les derniers survivants de sa ville. Il leur propose d’entreprendre un Road Trip à travers les Etats-Unis afin de trouver un refuge et d’essayer d’échapper à ce nouveau fléau qui sévit. Selon lui, cette terre promise se situerai en Louisiane à plusieurs kilomètres de sa petite ville. Enfin, c’est ce que le vieil homme présent dans ses visions lui aurait fait comprendre…
Heaven’s Road d’Alexis Arend : mon avis sur le livre
Heaven’s Road…la route du paradis… cependant, le lecteur comprend très vite qu’il n’est pas tombé au paradis mais plutôt aux portes de l’enfer…
Dès les premières lignes Alexis Arend pose une ambiance glauque et macabre ou la solitude et le désarroi sont palpables. Les très bonnes descriptions effectuées par l’auteur plongent immédiatement le lecteur dans son univers.
L’histoire est originale et m’a tout de suite fait penser à Désolation de Stephen King. Ceci est certainement dû à la route, qui est le décor principal d’Heaven’s Road et celui du commencement de Désolation.
Il est difficile de lâcher ce bouquin, nous avons envie de connaître la fin jusqu’à la dernière page même si certains passages peuvent être angoissants et faire froid dans le dos.
J’ai beaucoup aimé le prologue de ce livre qui nous donne immédiatement le ton apocalyptique de l’histoire.
Je recommande vivement ce roman d’anticipation de top niveau.
A très bientôt sur Cannibalecteur,
Céline